Ce matin, pétole molle. La distance n’est pas énorme, alors on prend notre temps. Comme souvent le matin. Il s’est instauré un petit rituel super agréable. On se réveille entre 7 et 8 en général. Vers 8h, après divers jeux du matin checun de son coté (Éléa et Daphné à l’avant, Olivier et Phoebé à l’arrière), on se tasse dans la cabine avant pour profiter de la bonne humeur du matin du petit bébé – sourires, chansons, embêtage de petite sœur, etc. au programme. On habille Éléa et pn passe au déjeuner. Peu de temps après, c’est déjà l’heure du dodo pour la petite Éléa qu’on installe dans le hamac. C’est le moment pour faire des exercices dans le gros-petit livre de Phoebé, s’occuper des petites réparations ou entretien du bateau, etc.
Bref, vendredi matin, on part vers la fin de matinée, le vent ne se décidant pas à monter. Il ne montera pas…avant le début de la nuit. Du coup, Olivier ne tient plus : Il faut sortir le spi. Il le vérifie (et fait une petite réparation au passage), installe l’accastillage et hop ! On avance (à peine plus) tirée par notre belle bulle jaune et bleue (comme la maison, tiens !). Arrivée à Edgartown rime avec arrivée chez les milliardaires : Pas de mouillage dans le port, alors on reste à l’extérieur au milieu de méga-yachts, aussi bien à voile qu’à moteur. Après une bonne baignade (l’eau est rendue à 24 degrés ici) et un séjour à la plage, on se rend en dinghy à la ville. C’est aussi beau que riche. Au milieu, trône le Edgartwon Yacht Club, en pleine efferverscence ce week-end : Il accueille une cours de 12M-J : Ancienne jauge de bateaux de l’America’s Cup dans les années 70-80. Les bateaux sont impressionants et le party très chic bat son plein. Autour, c’est du pareil au même : C’est riche, très riche. Heureusement, on s’est «bien » habillés. On fait une bonne promenade dans la ville, très belle. On sourit aux gardes du corps qui attendent en arrière des restos chics et…on retourne manger des pâtes sur le bateau. Chacun son truc !
La nuit est assez agitée car il vente 20-25 nœuds toute la nuit et notre mouillage n’est pas du tout abrité. Le lendemain matin, on part pour Nantucket, plus riche encore paraît-il, pendant que le ballet des yachts se poursuit : Ils ne restent jamais très longtemps au même endroit, semble-t’il. Le temps de descendre tout l’attirail à l’eau (dinghies, jet skis, voir même un campement de luzxe au complet pour aller à la plage), un petit tour en ville dans un resto hors de prix et on repart.
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