C’est une belle navigation qui nous attend pour se rendre sur l’île de Nantucket. Il fait grand beau, 15 nœuds de vent et la mer est belle. Il faut faire plusieurs détours car la zone ou nous sommes (entre Cape Code, Martha’s Vineyard et Nantucket) est jonchée de bancs de sable. Ne connaissant pas le copin, on prend des options de navigsations assez conservatrices – les bancs de sable, ca bouge…
Du coup, on part au vent arrière, on fait une bonne partie au portant et on finit au près dans du vent assexz musclé, 20-25 nœuds encore. Arrivés là, Il y a un trafic fou dans le port, même pas concevable de mouiller l’ancre ici. Et puis, on en a marre d’être a proximité des villes, aussi cute soient-elles. Il y a un grande lagune qui prolonge le port naturel de Nantucket. Ca n’a pas l’air profond, c’esst marée basse, mais on se risque. Malheureusement, on finira par rebrousser chemin car on ne trouve pas d’issue et on touche presque le fond. On retourne quelques 100aines de mêtre en arrière et on va mouiller près d’une plage sur la lagune. Au moins, on est tout seuls. L’eau est super chaude, plus de 25 degrés et du coup, Olivier et Phoebé se rende à la nage jusqu’à la plage.Aujourd’hui, Éléa est drôlement calme à la plage. C’est agréable. Par contre, la baignade n’est pas top car il y a vraiment beaucoup d’algues. OK, Ok, ceux qui lisent ca au bureau, on ne se plaint pas….
Dimanche matin, après une bonne partie de la matinée à traîner sur le bateau, on refait un petit tour à la plage et on se décide à se rapprocher du port pour pouvoir aller visiter la ville. Comme il ventre encore pas mal fort, on remet au lendemain l’avitaillement en eau douce : L’Expérience des gros quais pour yachts par vent fort à Martha’s Vineyard cette semaine nous a un peu calmé. Après une LONGUE traversée entre les bateaux au mouillage (ici, un bateau de 45 pieds a l’air d’une chaloupe), on arrive en ville. C’est vraiment très beau. Tout comme Martha’s Vineyard, toutes les maisons sans exceptions sont en bardeau de cèdre (y comprius la toiture) avec des tours de fenêtres blancs et des fenêtres à guillotines. Les rues sont en galets et tout le port est fait de petites maisons sur pilotis qui sont soit des boutiques soit des habitations. Évidemment, les bateaux sont somptueux ou énormes, ou les 2. Les boutiques le sont tout autant et la population n’est pas du genre à prendre le métro le matin pour aller au travail….Cependant, ici comme à Edgartown, le luxe rime avec goût et style. C’est pas du tape-à-l’œil, ca sent la fortune de longue date. Anyway, tous les gens qui restent à Nantucket sont riches, ca a l’air….
Phoebé est contente avec beaucoup moins : on a trouvé enfin un beau Tee-shirt homard ! On trouve finalement un resto abordable pour ce soir : Pas le choix, on n’a plus de propane à bord ! On se régale encore avec une bonne Chowder et on goûte enfin aux fameux Lobster rolls (sandwiches faits avec du homard frais). En repartant, on hallucine à quel point les gens qui débarquent de leur dinghy sont endimanchés. Ca fait un contraste assez étonnant. Surtout que pour arriver à accoster au quai publis ou sont tous les dinghies (et il y en a beaucoup car 99% des bateaux sont au mooring), c’est la guerre : Il y a tellement de dinghy qu’il faut en enjamber 2 ou 3 pour arriver sur le quai ou alors il faut se frayer un chemin en repoussant les bateaux dans tous les sens.
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